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 Les Hardiens [Dack Saris]

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Dack Saris
Ombre de lui même
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Dack Saris


Masculin Date d'inscription : 14/09/2011
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Royaume : Hombrume
Titre : Sar'

Les Hardiens [Dack Saris] Empty
MessageSujet: Les Hardiens [Dack Saris]   Les Hardiens [Dack Saris] EmptyVen 14 Oct - 2:34

CITATION(Le Livre Du Calme Nouveau)
Nous étions des milliers, réfugiés de catastrophes, bannis, hommes, femmes et enfants que la guerre laisse derrière son sillage pourpre. Il se trouvait parmi nous nombre de personnes démunies, blessées et meurtries. La nuit nous gelions, le jour nous cuisions mais nous n'avions nulle part où aller. Aussi continuions nous notre chemin. Chaque soir on comptait les morts, chaque matin ceux que le jour ne réveillerait plus jamais. La vie difficile avait créé au sein de notre société de refoulés un étrange accord et une solidarité sans faille. On ne vous demandait pas ce que vous faisiez avant, juste ce que vous étiez capable de faire maintenant. Pas de chef; juste des hommes et des femmes solidaires là, pour faire survivre le groupe et à cette tache personne ne s'y dérobait, car chacun était un frère ou une soeur de malheur. On put même trouver des déserteurs ou bandits qui savaient utiliser une épée et qui pensaient devoir protéger leur nouvelle famille. Heureusement que les vieillards jetés sur la route partageaient leurs connaissances, qu'ils soient fermiers, médecins, ou anciens pratiquants de n'importe quelle profession. Pour nous, savoir comment cultiver la pomme de terre était aussi important que mettre une bande. Nous étions, en somme, une société pauvre où les connaissances recueillies étaient notre seule richesse.
Cette richesse, nous l'échangions parfois contre d'autres connaissances ou ce que nous avions besoin.

Au fil des guerres, rébellions et autres conflits, le groupe s'agrandissait considérablement. Comme si il était devenu l'étendard de l'espoir d'avoir une nouvelle vie. De centaines nous passions milliers puis millions.

Nous nous demandions jusqu'où irai la folie avant que nous puissions voir la paix s'instaurer et notre communauté s'installer dans un endroit paisible.

Un beau jour, je me le rappelle, où tout semblait beau, une horde de pillards descendirent des collines avoisinantes. Ils venaient tuer et voler nos hypothétiques richesses. Les hommes armés avaient tenté vainement de les stopper, mais ils ne réussirent qu'à se faire tuer. Les pillards après avoir tué une centaine de personnes s'enfuirent toujours aussi pauvres, mais bien plus sale de notre sang.

Pendant ce jour funèbre tous les corps des hommes, femmes et enfants décédés dans la bataille furent enterré avec dignité et respect. Le soir venu et le labeur fini tout le monde se mit à pleurer les morts. Ces cris de désespoirs et de tristesse firent de cette journée sombre et affreuse.

La lune nous éclairait de sa lumière pure, puis au dessus de nos visages mouillés de larmes, une lumière bleue pâle et douce apparut. Tout le monde se releva tranquillement, tout chagrin enlevé et désespoir retiré. Cette étrange lumière sécha nos larmes. Puis avec calme une silhouette gigantesque apparut dans la lumière, petit à petit elle devenait plus consistante. Et pour finir devant nos yeux sublimés la plus grandiose des apparitions, celle d'un dieu. Il était grand, baignant dans la lumière bleutée. Il portait un toge blanche et or des sandales d'or et de cuir. Il était chauve, une pierre noire sur son front. Son visage montrait son calme divin, et ses yeux semblait luire d'une lumière interne.

Nous étions mystifiés, mais nous avions pas oubliés le principal, un dieu nous était apparut, et comme un seul homme, comme si cette pensée avait atteint tout le monde au même moment, nous nous agenouillâmes devant lui, front contre le sol en signe de respect le plus total de l'honneur qu'il nous faisait.

D'une voix paisible il commença son discours. Nous étions envoûtés et personne n'osa ne serait- ce que respirer, de peur d'interrompre le dieu. Voici ce qu'il nous dit, et voici ses préceptes, ceux qui à jamais devront guider notre peuple.

" Aujourd'hui je me montre à vous, vos pleures ont attirés mon attention sur ce monde. Votre peine n'a plus lieu d'être vous avez tous suffisamment souffert. J'estime que maintenant je me doit de vous apporter la paix. Mais cette paix je ne la donnerai uniquement à ceux qui suivront mon sillage et mes préceptes.

Je suis Hardani, Dieu de l'esprit et de l'âme, j'apaise les esprits tourmentés, calme les indécis et éclaircis les esprits pour que les choix juste soit fais. Et suis au chevets des mourants pour qu'ils partent sereins. J'aide les âmes à trouver le chemin de leur dernière demeure. Et en plus de vos pleurs le cris des morts m'a attiré."

D'un geste de la main il nous fit voir les âmes des disparus qui s'envolaient dans le ciel, enfin au repos. Puis son discours repris.

"Voici le tournant de votre vie. Voici le moment d'un choix qui pour votre avenir est des plus important. Si vous acceptez mes préceptes et que vous ne cessiez de croire en moi comme votre guide dans l'avenir alors vous serez digne de recevoir une parcelle de moi en chacun de vous et vos enfants par la suite. Cependant si un jour vous manquiez à un de ces besoins cette parcelle de divinité vous sera retirée et vous redeviendrez de simples humains."

À ce moment là, tout le monde en son coeur sut qu'il serait à jamais un enfant du dieu et qu'il lui serait redevable à vie.

"En vos coeurs et esprits je lis que vous venez tous de faire votre choix." Dit Hardani.

Du dieu partit des millions de minuscules billes de lumière bleu , et chacune d'entre elle rentra dans le coeur de tout ceux qui étaient à genoux dans la plaine. Puis une chaleur douce se diffusa dans notre corps, dans nos membres. Nous étions momentanément aveuglés et même hébétés par ce qui se passait en nous. Puis au bout de quelque temps on put enfin ouvrir les yeux. Et on découvrit ce qui avait changé. Tous autour de moi avaient leurs blessures de refermées, les signes de maladie, de vieillesse envolés et les infirmes avaient eu droit à un miracle supplémentaire: leurs membres retrouvés. Notre peau était devenu bleue et tous avait désormais les cheveux noirs. Je notais cependant que la magie avait simplement touché à la couleur et les cheveux étaient toujours sales et mal peignés.

"Vous voila, mes fidèles, ceux qui en eux ont une parcelle de divinité. Maintenant écoutez moi. Voici mes préceptes: Être honorable et au dessus du comportement barbare. Être toujours juste que la personne soit bonne ou mauvaise. Aimer la terre comme son enfant, car c'est la terre qui nourrit les hommes. Je finirai par ces mots : même si une parcelle de moi réside en vous et sera transmise à vos enfants vous êtes libres de vivres comme bon vous semble tant que vous respecterez les dieux et mes préceptes. "

À ce moment là, il tendit la main en ma direction et sur mon front déposa une gemme noire. Il fit de même pour chaque personne.
"À vous mes enfants je vous donnent ces pierres qui sont le symbole de la maturité et de l'âge adulte, elles vous permettront de développer certaines facultés et de communiquer entre vous, ou avec d'autre créature intelligentes ou même avec moi pour certains.
Pour vous aider dans ce renouveau je vous offre un dernier présent, un animal mythique à qui l'ont doit un foyer. Il sera désormais ici et avec vous. L'hurga, fils des éléments."

De la terre et de la roche voisine sortit toute une meutes de bêtes monstrueuses. Ces créatures avaient la taille d'un très grand cheval, seulement sa forme globale et sa posture rappelait celle du tigre. Les pattes étaient énormes et possédaient des griffes pouvant découper un homme. La peau était épaisse et recouverte d'écailles pâles, des plaques osseuse protégeaient les articulations, l'échine, la tête et la queue. Cette dernière était un véritable assemblage d'os pour former une queue en fouet pouvant balayer les ennemis. Les hurgas furent arrivés

Des cieux descendirent des oiseaux. Plus ils s'approchaient, mieux on pouvait les distinguer. Ils avaient la même formes que les hurgas sortis de la terre. Seulement, les Hurgas des cieux avaient pour corps de la lave en fusion. De leurs naseaux sortaient de minuscules flammèches, mais de leur gueule; ils pouvaient cracher des jets de flammes de plusieurs mètres. Près d'eux, leur corps était d'une température acceptable. Les Rahurgas furent apparus.

Des rivières sortirent les Yilhurgas. Ils possédaient une peau lisse, claire et bleue telle que l'eau. On aurait pu la prendre pour translucide, tellement elle était claire. Ils possédaient seulement deux pattes avant. Le reste du corps était allongé, et en forme de nageoire. Autrement, leur corps était semblable aux autres créatures, très grand.

Hardani s'adressa aux hommes et bêtes rassemblés ensemble:
"Vous tous, vous êtes des créatures douées d'intelligence, vous pouvez vous parler, comme vous parler entre vous, grâce aux pierres que je vous ai donnés. Vous, chacun d'entre vous, uniques, trouvez le plus parfait des accord et alors vous pourrez vivre en paix. Cultivez votre jardin et n'oubliez jamais que je veille sur vous.

"La dessus je vous laisse prendre votre destin entre vos mains."

Ces dernières paroles prononcées, le dieu disparu comme il était venu. Nous laissant là, perdu et émerveillés de ce qui venait de se passer, mais près pour ce nouveau départ.

CITATION(De la politique ou la théocratie militaire Hardienne)

Chez les Hardiens, politique, religion et armée sont trois notions indissociables. Tout d'abord, car la religion dicte la vie des hardiens, ils sont régis par les paroles de Hardani. Deuxièmement par le fait que chez les hardiens être soldat, c'est être un homme. Dans les villages et les villes hardiennes, la grande majorité des hommes sont des fermiers, chacun de ces fermiers est aussi un milicien s'entraînant souvent pour pouvoir protéger au mieux sa maison, son village et ceux qui forment pour lui ses compagnons. Naturellement, comme l'entraînement prend du temps aux hommes dans les fermes, ils ont beaucoup d'enfants pour rééquilibrer le manque de mains d'oeuvres. On compte en moyenne 8 à 9 enfants par familles.

Là ou rentre la politique dans le système c'est que chaque village et ville est dirigé par le plus haut gradé vivant dans celle-ci.

L'élite de l'armée hardienne sont les Champions, ces hommes totalement dévoués au clergé de Hardani et à leur pays. Ce sont les meilleurs généraux qui passent Champion après avoir subi une série d'épreuves et après avoir réussit à maîtriser leur Pierre. Ce sont l'élite de leur nation, alliant les capacité de prêtre et les fonctions de généraux. Ils sont reconnaissable à un tatouage ésotérique autour de la Pierre. Les Champions sont dirigés par un seul homme: le Maître de l'Ordre des Champions. Cet homme à les fonctions de maître des armées hardiennes et les capacités d'un prêtre de haut rang, grâce à sa maîtrise avancée de la Pierre d'Esprit. Grâce à celle-ci, il peut directement communiquer avec tout les prêtres et officiers hardiens. Sa grande puissance physique et intellectuelle fait de lui le dirigeant du pays.

Les prêtres jouent un rôle important dans la vie politique aussi. Leur dons et la force de la religion dans les pays hardiens fait d'eux des conseillers et guides de choix. Les prêtres de très hauts rang sont parfois conviés à porter le poids de la direction du pays. Ce genre de situation est très rare, car il n'arrive uniquement qu'en cas de grave crise. Par exemple la mort du Maître de l'Ordre des Champion,s alors que le successeur n'est pas encore désigné. Pendant ce laps de temps, le Maître du Culte de Hardani prend la direction du pays.

Les Champions ont la direction du pays, mais ils ne forment pas le gros de l'armée réelle des hardiens. Ce sont les Membres de L'Ordre de la Griffe qui le forment. Ces hommes sont les Dresseurs, eux seuls savent et peuvent monter les Hurgas. Pour cela ils sont craint et respectés car ils n'ont pas choisi la voie la plus simple. C'est un sacrifice perpétuel pour s'occuper des créatures et réussir à parfaitement les maîtriser. Ces hommes ont totalement délaissé la politique pour être un corps d'arme unique, en effet, ils n'ont jamais reniés leur religion et ont développé leur don acquis grâce à la Pierre, pour pouvoir communiquer encore plus facilement avec leurs montures.
[...]
Les hardiens, pour leur passages à l'age adulte reçoivent une armure. Cette armure lourde est pourtant moins encombrante que les armures classiques. La minutie des articulations et leur solidité en fait de magnifiques protections. Cependant elles sont massives et les hardiens peuvent les porter avec facilité uniquement grâce à leur carrure imposante. Les armes sont confectionnées aussi avec minutie, pour qu'elles s'usent le moins rapidement possible. La minutie et l'application ne se font pas au détriment d'une certaine vitesse car les armures restent simple et sans décorations.

CITATION(L'art selon les Hardiens)

L'art en soi comporte plusieurs domaines. Ici je me pencherai sur les deux seuls domaines où nous autres hardiens avons une particularité. Je parle bien sûr de l'architecture et de la littérature.

L'architecture est en soi inexistante. La très grande majorité des bâtiments sont des fermes de bois et de pierres. Les seuls bâtiments Hardiens qui font l'orgueil de ce peuple se trouve à Hadakis, la cité construite sur le lieu de l'apparition de Hardani. Mais ce site put être construit uniquement grâce à l'intervention divine et l'aide d'autres peuple qui aidèrent le premier prince Hardien: Dack Saris.

La littérature est un art important chez les Hardiens. Beaucoup de texte sont religieux où historique. Ce sont des livre d'instruction aussi. Mais leur véritable art littéraire se trouve dans la poésie et le chant. Les poème et chant sont toujours basé sur ce qui touche au plus profond du coeur des hardiens: les paysages, les guerres, le culte de Hardani et naturellement leurs passions.

CITATION(Le Parchemin de la nouvelle Ère)



Hardani nous a envoyé son nouveau défi! Les hardiens et les hurgas sont toujours debout, toujours là. Rien ne nous délogera de nos terres. Nous avons mérité notre place, nous y sommes et nous y resterons! Un cataclysme n'est qu'une pierre sur le chemin d'un hardien, et tous les hardiens peuvent surmonter ce petit obstacle. Nombre des nôtres sont morts, nombres des nôtres sont disparus, même les hurgas, nos fidèles amis venant des éléments même ont soufferts. Mais comme nous ils ont survécu et sont toujours enclins à nous aider. Telle est la volonté de Hardani. Telle est la volonté de notre peuple.
[…]
L'âge sombre où les filvils attaquèrent nos nations vient de prendre fin, tout comme le monde que nous avons connus. De nombreux peuples ont du se déplacer car la terre était contaminée. Mais pour tous les Hardiens ce fut un changement encore plus profond, qui perturba grandement les habitudes de notre jeune peuple. Pendant ces temps de crises les marchés étaient vides, chaque nation se battant pour elle, les frontières étaient fermées, et il nous faudra encore du temps avant que le commerce reprenne son cours normal, nous avons donc dut être plus que toujours auto suffisant sur ce qui faisait notre richesse. Cette époque est celle de la reconstruction intérieure. Par prudence nous cultivons plus, en privilégiant le commerce intérieur. Cependant, tout n'est pas mauvais. Et comme l'enseigne les sages, il faut savoir apprendre de chaque expérience. Ces combats nous auront appris que l'ont peut toujours se perfectionner.
Cette perfection s'est retrouver dans de nombreux domaines; armurerie où le conflit planétaire nous demanda encore plus d'effort; prêtrise où le talent et la formation des prêtres fut amélioré pour le combat et le soulagement; culture pour que jamais nous ne mourrions de faim. Alors qu'à l'inverse les revenus, provenant uniquement du commerce, chuta avec la fermetures des marchés. Avec la fin du conflit la nourriture en surplus fut vendu sur les marchés intérieur et très peu sur les marchés extérieurs ce qui assure la subsistance de la nation.
De ce conflit en est ressortit une chose très intéressante, l'expansion de notre culte et le nombre des notre partant dans d'autres pays pour colporter leur foi et soulager les peuples de l'affliction qui les a touché. Cette expansion fut rapide, et les prières, source de la magie cléricale, étaient plus nombreuses, mais moins concentrées. Les pouvoirs des prêtres demandent maintenant plus d'efforts même si ils se sont perfectionnés.
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